29/05/05
00:12 Et c'est comme ça que j'ai rencontré Géraldine *sourire niais*
En fait, ça n'aurait jamais dû arriver. J'étais dans le tram devant la gare de Bordeaux. Il attendait qu'un autre tram parte avant de nous laisser sortir. Quand il nous a libéré, j'avais perdu quelques minutes. J'ai pris mon billet de train pour Toulouse, et ai tenté de trouver le quai où il embarquait. J'ai demandé à des agents SNCF, qui m'ont indiqué un train qui venait de se mettre en route. J'ai donc changé mon billet, et suis arrivé à Toulouse avec 15 minutes de retard par rapport à mon train initial. Conséquence directe, j'ai raté la navette pour l'aéroport de Blagnac de 13h20. Il y en a une toutes les 20 minutes et le trajet dure 20 minutes. Mon entretien était à 14h. La navette est arrivée à 13h45, et m'a déposé devant l'aéroport à 14h20. Ensuite, je me suis un peu perdu, endimanché sous un soleil de plomb et 16kg d'affaires dans mon sac. Je suis arrivé pour l'entretien vers 15h. Celui-ci s'est terminé à 16h30. Je suis arrivé pour prendre la navette retour de 16h35, qui est arrivée à 16h48. A 17h40, j'étais à la gare Matabiau. Le train était parti à 17h37, emportant siro avec lui. Pas grave, j'ai attendu le prochain, à 22h20, en optant pour siège inclinable, finances obligent. Je suis arrivé à Paris à 6h52, me suis perdu dans Genevilliers, et n'ai pu trouver le confort d'un vrai lit qu'à 8h du matin passées.
Quant à Géraldine, la future femme de ma vie ? Elle a dû voyager en couchette première classe. Ou pas. Ou alors elle n'était pas la future femme de ma vie. Ou...
La seule chose de sûre dans tout cet enchaînement d'événements contrariants, c'est que j'ai eu plus de chance que clim.
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