31/01/10
21:29 Angoulême 2010
J'ai de la chance. Beaucoup de chance. Si je n'avais pas eu le bonheur de rencontrer deux personnes, quasiment l'intégralité de mon entourage actuel me serait inconnu. Hasard du calendrier, après avoir accueilli la première le week-end dernier, c'est la seconde qui venait me rendre visite ce week-end.
L'objectif, comme chaque année depuis maintenant 4 ans, c'est le festival international de BDs d'Angoulême. Le départ est tôt, bien plus tôt que mes horaires habituels. Arrivée à 10h, et déjà, premiers problèmes : de gros flocons de neige, un éditeur qui ne propose des dédicaces que sur ticket (obtenu uniquement après achat d'un livre sur le stand), un aller retour sous la neige jusqu'à un autre lieu où la personne dédicaçant n'est finalement présente que l'après-midi... Bref, à 11h, c'est trempé que nous nous retrouvons chez une amie journaliste angoumoisine. Amie qui nous offre pratiquement gite et couverts à côté du Champs de Mars, ce qui fut un luxe grandement apprécié. Amie que je connais via mon invitée du week-end. Le hasard fait bien les choses.
Retour vers 13h sur le festival, assez tard pour acheter une BD et apprendre que la file d'attente est arrêtée juste avant mon arrivée dans celle-ci. Je vais donc dans une autre file et... patiente 2h en vain. Pendant ce temps, mes deux amies parties en repérage reviennent avec une dédicace de Aurore. J'apprends qu'Algésiras était à côté (ce qui n'était pas mentionné sur le site de l'éditeur, zut). Il est 15h30, je n'ai qu'une dédicace, cette journée part sur de très mauvaises bases. Fort heureusement, la suite se révèle plus productive. La gentille Ciia, la très sympathique Marion Montaigne, la très méticuleuse Esther Gagné et l'impressionnant Manu-xyz. C'est amusant, c'est pratiquement que des BD-blogueurs. Un bilan donc assez réussi. Et maintenant, place aux dessins.
Marion Montaigne (oui, c'est une vision animalière de Bastien Vives).
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