20:30Tentations numériques
Voilà les trois appareils qui me tentent en ce moment. Mon dernier PC date de 2003 (dernière pièce remplacée en 2005), j'ai donc envie de me faire plaisir avec un peu de neuf...
A votre avis, lequel devrais-je avoir d'ici la fin de cette semaine (mon choix est déjà fait) ?
Petit jeu bonus : sauras-tu retrouver le point commun entre ces 3 appareils ?
14:18C'est pas parce qu'on est célibataire un 14 février qu'il faut se laisser aller
Au menu :
Apéritif :
champagne Ultrabrut Laurent Perrier
En entrée : crustacés
En chaud froid : queues de langoustine en nage américaine et carpaccio de noix de saint-jacques délicatement épicées
avec Domaine Chevalier, Blanc, année 1997.
En plat principal : pigeon
En deux cuissons : son coffre désossé cuit avec son foie gras frais en basse température et sa sauce aux morilles, sa cuisse confite, accompagnés de ses pommes demoiselles, et de son duo de purée de petit pois et de céleri
avec Clos Fourtet, année 2000.
Assortiment de fromages fermiers
Saint-nectaire, Cantal et Tomme
avec Haut Brion, année 2002.
Dessert : fruits exotiques
Tarte fine à l'ananas caramélisé et crème de noisettes, soupe de mangue et sorbet fromage blanc réglissé
avec Château d'Yquem, année 1999.>>
18:41Angoulême, récit de dédicace : 8/8
Il est plus de 19h, on touche aux dernières dédicaces et donc aux bonnes affaires pas forcément planifiées. Et là, devant une file d'attente pour Catel presque vide, je craque :
Rendez-vous compte : l'édition luxe (50 pages en plus) de Kiki de Montparnasse, primée comme "Essentiel Fnac-SNCF" en 2008, vivement recommandée par quelqu'un ayant bon goût, comment laisser passer ça ?
19:53Angoulême, récit de dédicace : 7/8
La fin du festival approchait et je n'avais fait que l'espace éditeur. Pour corriger le tir, je me suis rendu place New York au "Nouveau Monde", decouvrir les plus petits éditeurs et espérer tomber sur Nicolas Wild, l'auteur de Kaboul disco (dont le troisième et dernier tome est attendu pour l'année prochaine).
Coup de chance, il était là. Ayant connu le tome 2 de Kaboul disco via Boulet, je lui ai demandé une dédicace représentant... un Boulet afghan !
Ca va mieux en le disant : je vous recommande la lecture des deux tomes de Kaboul disco
20:54Angoulême, récit de dédicace : 6/8
La dédicace suivante est purement circonstancielle. L'idée a germé lorsque la personne faisant la queue derrière moi pour Christian De Metter me dit "j'abandonne, il y a trop de monde. En plus il n'y a personne pour l'excellent Nuit de fureur, alors que le scénariste et le dessinateur sont là !".
Du coup, une fois ma dédicace de De Metter acquise, je me suis précipité chez l'éditeur afin d'acheter un exemplaire de Nuit de fureur. Et grâce à la gentillesse de la personne chargée de coordonner les files d'attente, ainsi que celle des auteurs, j'ai pu obtenir une dédicace un peu à l'arrache :
Le tuyau n'était pas éventé : après lecture, effectivement c'est un très bon polar.
19:45Angoulême, récit de dédicace : 5/8
Mon timing était serré. Il s'est détendu d'un coup quand j'ai appris que les dédicaces d'Etienne Davodeau (pour Lulu femme nue) et de Matthieu Blanchin (pour Martha Jane Cannary, tome 1) étaient sur ticket. Ticket que je n'avais bien entendu pas. A noter, ces deux livres sont dans le palmarès "Essentiels d'Angoulême" (merci donc à la personne m'ayant offert le second, tu as très bon goût, c'est une nouvelle fois prouvé).
Du coup, je me suis rendu dans une nouvelle longue file d'attente, pour un de mes chouchous de cette année. Il s'agit d'une adaptation d'un polar de Dennis Lehane, mis magnifiquement en image par Christian De Metter :
La dédicace est superbe et exécutée en quelques minutes.
A noter, Christian De Metter travaille actuellement sur un livre retraçant un court passage de la vie de Marilyn Monroe. Vivement la publication.
19:50Angoulême, récit de dédicace : 4/8
La dédicace suivante fut en quelque sorte l'opposée de la précédente. Pas de queue, trois auteurs attendant en discutant de dédicacer dans la joie et la bonne humeur.
Il faut dire que le livre en question, L'Affaire des affaires (premier tome sur trois, sous-titré L'argent invisible) était sorti en librairie une semaine avant.
Preuve de la bonne ambiance générale, j'ai eu droit à une dédicace très spéciale, sous les yeux hilares de Manu Larcenet (là, un tiers de mes lecteurs me déteste, que c'est bon) :
Alors, pourquoi Manu Larcenet était-il hilare ?
Tout simplement parce que la dédicace a commencé par les bulles, puis... la couleur. La case "dessin" s'est effectuée en dernier, ce qui est tout sauf commun. A noter le très bon travail du dessinateur, puisque le résultat final se remarque peu.
21:12Angoulême, récit de dédicace : 3/8
Pour la dédicace suivante, ce fut du lourd, du très lourd chez les blogueurs. Boulet, en personne, avec la publication de son blog (2 tomes parus). Alors forcément, comme toute dédicace attendue par un public très nombreux, il y a une longue attente. Et des tensions. Du "j'étais là avant !" et autres "ah mais pas du tout" qui finissent par être risible.
Presque autant que cette magnifique dédicace :
En voyant cette dédicace, vous vous demandez sûrement "mais pourquoi diable un Boulet jouant du Kazoo devant une souris en admiration ?". Un premier élément de réponse est ici.
Le second, hélas pas encore en ligne, est la reprise de "She works hard for the money" signée par Mice Session (composée de Flaquemuf et de votre serviteur). Ce post sera édité avec l'adresse où écouter cette petite merveille dès qu'elle sera en ligne.
Edit : voilà, notre reprise Mice Session #1 est en ligne.
Liz: pourquoi Trondheim me dit qqch??? vu dans un livre, un jeu?
Doc.Fusion: Trondheim, ville en Norvège est aussi le pseudo de Lewis, grand bonhomme de la bande dessinée, président d'Angoulême en 2007, auteur en dédicace à côté de Boulet lorsque tu as eu un Andreae (il était à côté)
Doc.Fusion : on doit à Trondheim les aventures de Lapinot, et donjon (avec Sfar)
Liz: Trondheim, c'est pas une ville passage dans l'aventure Sibéria?
22:10Angoulême, récit de dédicace : 2/8
Après avoir constaté que c'était mort pour une dédicace de Souillon ou de Sowa & Savoia (le premier était sur ticket, le second sur ticket en cas d'achat d'un livre o_O), je me suis dirigé vers le stand d'où je venais pour me faire dédicacer La cellule, de Guillaume Long (scénario de Fabienne Costes).
J'avoue, je ne connaissais pas non plus, jusqu'à ce que je réalise que Michel23 était dans la même promo que GrandK, laquelle a fait l'un des blogs de l'auteur (ce dernier lien semblant mort). Bref, un concours de circonstance un peu hasardeux, qui m'a permis de découvrir un très bon album, traitant d'une rupture et dérivant vers le fantastique.
Une autre chose de fantastique fut la façon dont le pauvre Guillaume fut traité : faute de sièges, il dû dédicacer pendant 1h30 sur un tabouret en plastique (mauve). Décidément, il ne fait pas bon être auteur inconnu de BDs.
Pour finir, sachez que le blog principal de Guillaume Long est : Un café, un dessin.
21:05Angoulême, récit de dédicace : 1/8
J'ai commencé ma journée angoumoisine par une dédicace de Bastien Vivès. Alors son nom ne vous dit peut-être rien et c'est presque normal. Mais ce très jeune auteur a signé avec Le goût du chlore un excellent album, qui à chaque lecture me plonge dans la piscine, quasi seul lieu de l'album.
Et quitte à signer un excellent album, autant me le signer également :
A noter que les paroles de chanson écrites en bas de la dédicace sont celles dites sous l'eau par l'héroïne à la fin du livre.
Pour être complet, Bastien Vivès a un blog : Comme quoi.